IMMOBILIER : Les désordres affectant le revêtement végétal
- Maître Virginie KOERFER
- 19 avr. 2016
- 1 min de lecture

Les désordres affectant le revêtement végétal d’une étanchéité relèvent de la responsabilité de droit commun.
La Cour de Cassation, par un arrêt rendu le 18 février 2016, a considéré que le revêtement végétal d’une étanchéité était un élément dissociable de l’immeuble, non destiné à fonctionner. En conséquence, la Cour de Cassation écarte la garantie biennale pour les désordres s’y rapportant. Ceux-ci devraient dès lors relever de la responsabilité de droit commun
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